Description du produit
Présentation de l'éditeur
La finance a mauvaise presse. Ses dérives et ses excès sont
dénoncés, souvent à juste titre. Mais un système financier efficace est
aussi nécessaire au fonctionnement de l'économie réelle :
finance et monnaie sont liées. Savoir qui pourra emprunter dépend des banques et des institutions financières, pas des banques centrales. Comment faire la part des choses pour stimuler l'économie réelle ? Un bref essai, ambitieux et informé, de trois spécialistes de la finance internationale. Les fonctions de la finance sont souvent méconnues. L'idéologie libérale en est largement responsable : elle a fait croire qu'en laissant la finance à elle-même nos économies seraient dotées de mécanismes capables d'allouer au mieux l'épargne qui s'y dégage. La dernière crise financière a provoqué, sur ce point, le début d'une prise de conscience. Elle est cependant loin d'avoir conduit à une meilleure compréhension du rôle des institutions financières : pour beaucoup, la finance reste plus une ennemie qu'il faut combattre qu'un instrument dont il faut apprendre à se servir. Ses institutions, qui émettent et font circuler la monnaie, ont pourtant pour l'économie réelle une importance qu'il est dangereux de négliger : l'allocation de l'épargne, mais aussi le niveau de l'activité et le rythme de la croissance en dépendent.
Cet ouvrage analyse le lien étroit entre monnaie, finance et économie réelle et montre pourquoi l'existence aujourd'hui d'un potentiel d'épargne important, au lieu d'être une opportunité pour l'économie mondiale, fait peser sur elle le risque d'une " stagnation séculaire ".
finance et monnaie sont liées. Savoir qui pourra emprunter dépend des banques et des institutions financières, pas des banques centrales. Comment faire la part des choses pour stimuler l'économie réelle ? Un bref essai, ambitieux et informé, de trois spécialistes de la finance internationale. Les fonctions de la finance sont souvent méconnues. L'idéologie libérale en est largement responsable : elle a fait croire qu'en laissant la finance à elle-même nos économies seraient dotées de mécanismes capables d'allouer au mieux l'épargne qui s'y dégage. La dernière crise financière a provoqué, sur ce point, le début d'une prise de conscience. Elle est cependant loin d'avoir conduit à une meilleure compréhension du rôle des institutions financières : pour beaucoup, la finance reste plus une ennemie qu'il faut combattre qu'un instrument dont il faut apprendre à se servir. Ses institutions, qui émettent et font circuler la monnaie, ont pourtant pour l'économie réelle une importance qu'il est dangereux de négliger : l'allocation de l'épargne, mais aussi le niveau de l'activité et le rythme de la croissance en dépendent.
Cet ouvrage analyse le lien étroit entre monnaie, finance et économie réelle et montre pourquoi l'existence aujourd'hui d'un potentiel d'épargne important, au lieu d'être une opportunité pour l'économie mondiale, fait peser sur elle le risque d'une " stagnation séculaire ".
Un mot de l'auteur
Anton Brender, Florence Pisani et Émile Gagna sont économistes chez Candriam Investors Group.
Anton Brender et Florence Pisani enseignent également à l'université Paris-Dauphine. Ils ont publié dans la collection " Repères " Les Déséquilibres financiers internationaux (2007), La Crise de la finance globalisée (2009) et La Crise des dettes souveraines (2013, nouvelle édition).
Anton Brender et Florence Pisani enseignent également à l'université Paris-Dauphine. Ils ont publié dans la collection " Repères " Les Déséquilibres financiers internationaux (2007), La Crise de la finance globalisée (2009) et La Crise des dettes souveraines (2013, nouvelle édition).
Détails sur le produit
- Poche: 128 pages
- Editeur : La Découverte (26 mars 2015)
- Collection : Repères
- Langue : Français
- ISBN-10: 2707185825
- ISBN-13: 978-2707185822
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